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Le bilan des victimes de l'agression israélienne contre le Liban augmente à 2 653 tués

- Depuis le 8 octobre 2023, selon un communiqué du ministère libanais de la Santé qui a fait état de "19 martyrs et 108 blessés" dans la journée du vendredi

Wassim Samih Seifeddine  | 26.10.2024 - Mıse À Jour : 26.10.2024
Le bilan des victimes de l'agression israélienne contre le Liban augmente à 2 653 tués

Lebanon

AA / Istanbul / Wassim Samih Seifeddine

Le ministère libanais de la Santé a fait savoir au soir de ce samedi que le bilan de l’agression israélienne contre le Liban, qui se poursuit depuis le 8 octobre 2023, augmente à "2 653 martyrs et 12 360 blessés".

D'après un communiqué du ministère, "Les bombardements de l’ennemi israélien contre le Liban ont fait 19 martyrs et 108 blessés vendredi".

Avec ce dernier bilan des tués et des blessés, le nombre total des victimes augmente selon le ministère à "2 653 martyrs et 12 360 blessés depuis le début de l'agression israélienne".

La même source a souligné que le nombre de victimes enregistrées vendredi inclut "10 martyrs et 56 blessés" dans le gouvernorat du Sud, "7 martyrs et 46 blessés" dans le gouvernorat de Nabatieh (sud) et "2 martyrs et 6 blessés" dans le gouvernorat de la Bekaa (est).

Depuis le déclenchement des affrontements contre des factions au Liban, dont le Hezbollah, qui ont éclaté suite au début d'une guerre génocidaire contre la bande de Gaza le 7 octobre 2023, Israël a élargi la portée de la guerre depuis le 23 septembre dernier pour inclure la plupart des régions du Liban, incluant la capitale, Beyrouth, avec des frappes aériennes d'une violence sans précédent. L'armée israélienne mène aussi une invasion terrestre dans le sud du Liban, ignorant les avertissements internationaux et les résolutions de l'ONU.

Le Hezbollah riposte quotidiennement par des tirs de roquettes, de drones et d'obus d’artillerie ciblant des zones militaires et des colonies israéliennes. L'État israélien a annoncé certaines de ses pertes humaines et matérielles dans le cadre de ses agressions, mais la censure militaire impose un silence strict sur la plupart des pertes, selon les observateurs.

* Traduit de l'arabe par Mounir Bennour.

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